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Faut-il continuer d’appeler Dieu : Père ?

Depuis plusieurs décennies, des évolutions marquantes se sont produites dans notre société occidentale concernant la place de la femme. Ces changements se sont répercutés dans l’Église, où l’on assiste à de plus en plus de débats sur tout ce qui concerne le sujet. Ainsi le vocabulaire religieux connaît une certaine féminisation: on ne parle plus d’homme mais de personne et on ajoute “des frères et des sœurs”. Quasi unanimement, les changements dans le vocabulaire sont applaudis tant qu’ils expriment la relation non discriminante entre homme et femme dont Paul parle en Galates 3:281. Le problème se pose lorsque les changements proposés se réfèrent à Dieu. Où doit s’arrêter la révision de notre vocabulaire chrétien?

Valérie Duval Poujol a écrit un excellent article de fond à ce sujet et nous vous encourageons à le lire dans sa globalité. Voici un bref résumé des principaux points qu’elle y développe:

  1. IL NE FAUT PLUS APPELER DIEU PÈRE

Quels sont les arguments?

2. POURQUOI IL FAUT CONTINUER A APPELER DIEU PÈRE

Les arguments:

3. LA PATERNITÉ DE DIEU

Qu’entend-on par l’expression « Dieu le Père »?

Face à ces arguments quelles sont les attitudes possibles? Deux options:

« Dieu comme Père n’est pas un enjeu de la guerre des sexes mais une vérité théologique, un article de foi et un sujet de louange. Réapprenons à dire: « Je crois en Dieu le Père. »

Merci à Valérie Duval-Poujol pour son éclairage! Les différents arguments sont développées dans l’article complet et les références bibliques de la maternité et de la paternité de Dieu se trouvent à la fin de l’article.

Et vous, quelle place laissez-vous à la richesse des caractéristiques de Dieu dans votre vie de prière et dans votre témoignage?

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